A partir de l’image visible, l’esprit s’élance vers le divin. Ce n’est pas l’objet (l’icône matérielle) qui est vénérée, mais la Beauté, par la ressemblance que l’icône transmet mystérieusement. Les icônes illustrent ce que la littérature byzantine appelle : « Les ineffables splendeurs de la Beauté divine ».
Paul Evdokimov